tuerie-polytechnique-1989

Quatorze d’elles

Il a retiré une à une les étoiles d’elles forant au plus secret de l’ardoise là où l’instinct du temps intact soulève l’arabesque des corps J’ai le vertige de toi mon amour le vertige de ton amour qui me porte comme un fruit non loin mes soeurs s’allongent une à une sous le faix sanglées…