Poème de janvier
L’enfant prend fuite méridien planté dans l’hiver nos abîmes recouverts ta brûlure sur mon front je ne sais plus très bien nous y voilà à l’heure où rien ne règne dix fois plus grands
L’enfant prend fuite méridien planté dans l’hiver nos abîmes recouverts ta brûlure sur mon front je ne sais plus très bien nous y voilà à l’heure où rien ne règne dix fois plus grands