Ai-je oublié de vivre
si longtemps
que j’en suis morte
suspendue
entre deux inspirations machinales
au point zéro des océans
parmi tant de créatures abyssales
tentant d’échapper
à la douleur des autres
Merci pour la générosité de votre commentaire. 🙂 C’est toujours une joie de savoir que nos mots résonnent dans d’autres cages thoraciques que la nôtre. On se sent soudain moins seul.
Votre texte est fort en émotions et en baumes lyriques. Je m’y suis beaucoup identifié. 🙂
Merci pour la générosité de votre commentaire. 🙂 C’est toujours une joie de savoir que nos mots résonnent dans d’autres cages thoraciques que la nôtre. On se sent soudain moins seul.
Effectivement. 🙂