Tes veines
contre ma peau d’impatience
le souffle décousu d’une nuit trop courte
douter
savoir
enfin
et le cri du corbeau perché
sur l’épaule de la montagne
un silence fauve
de fantasmes maigres et rompus
tu laisses mon cœur à manger aux oiseaux
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J’aime !!!