Morte
le teint gris
l’œil livide
mais encore debout
Faire ses adieux à l’orage
à ce qui danse et tourne
aux amis éternels
à la nuit, au brouillard, au trouble
Laisser sa peau de chagrin derrière soi
tout ce qui pèse et dure
refaire le monde une première fois
Célébrer la fin
s’ouvrir comme on respire
à l’inconnu qui frétille
gentiment
affranchi de la sentence et du fardeau